Trans-ire, Université Populaire De Martino – Carpitella PRÉSENTE «Passage de guérison» avec la collaboration de : Tarantarte, Anna Lindh Foudation, ReExister
TRANS-IRE, l’Université Populaire De Martino – Carpitella, a été créé à la suite des recherches menées autour de l’oralité et va à la rencontre des valeurs dans les espaces vécus du geste et de la parole des formes archaïques. Afin de souligner le potentiel de ces traditions, notre objectif principal est la transmission des rituels de passage, dans son enracinement et son enrichissement. Il s’agit de comprendre et de faire comprendre, dans le respect de l’Autre, que les faits culturels ne sont pas des superstitions détériorées, ni de simples et inertes survivances et que leur transmission joue un rôle dans la structuration de l’intériorité de l’Humain.
PROGRAMME
- Jeudi, 9 JUIN – Espace Harmattan Auteurs
63, rue des Écoles 75005 Paris – M° Saint-Michel, Maubert-Mutualité
19h00 > Présentation du livre de la collection TRANS-IRE : “À la recherche d’Aïda” – regard croisé entre Morena CAMPANI et Mieko MATSUMOTO
- Dimanche, 12 JUIN – Les PIANOS (Guillotine) – 14h00/18h30
26, rue Robespierre 93130 Montreuil – M° Robespierre (ligne 9)
LES TARENTELLES: DE LA DANSE TRADITIONNELLE À LA COMPOSITION CHORÉGRAPHIQUE CODES, RITUALISATION, SYMBOLIQUE
1ère partie – 14h/16h
On démarre avec Sara Colonna, danseuse, danse rythme thérapeute, formée à la recherche en science sociales et anthropologiques, et on aborde la grande « famille des tarentelles » et la danse dans sa fonction ainsi dite sociale-ludique : différences (kinésiques, cinétiques et chorégraphiques, rythmiques et musicales, etc.) mais aussi noyau commun, contextes, évolution, codes et cadre rituel et symbolique.
2ème partie – 16h30/18h30
À partir de ce dernier sujet enchaîne Maristella Martella, chorégraphe et danseuse réputée qui depuis des années avec son « Taranta Atelier » retrace l’origine de la tarentelle dans son contexte rituel et thérapeutique. À travers un processus créatif et expérientiel qui fait levier sur la gestuelle et les formes expressives typiques de ces danses, on atteint progressivement la composition chorégraphique et la dimension scénique.
