Autour du livre “Trieste, la littérature pour territoire” (éditeur Georg, Genève 2025), ou « un autre regard sur l’espace poétique triestin ». Rencontre avec Christophe Solioz (auteur) et Laurent Feneyrou (président des éditions Triestiana). Lecture d’extraits, discussion et dédicace mercredi 5 novembre à partir de 18h., chez nos amis d’Isola, la cantine littéraire, 15 Rue Ternaux, 75011 Paris. Un ouvrage qui se propose de saisir sur le vif la triestinité, un moment d’échanges qui promet d’être intéressant, car Trieste, ville frontière et littéraire, ne ressemble à aucune autre.

Présentation
L’exploration du champ littéraire comme art de faire le territoire dévoile une ville ne figurant sur aucune carte et performe la complexité triestine comme un espace à la fois singulier pluriel. Trieste est sa littérature.
La littérature comme art de faire le territoire est explorée en ouverture par l’entremise d’un tissu textuel composé d’écrits de Bobi Bazlen, Carolus L. Cergoly, Fery Fölkel, Anita Pittoni, Umberto Saba et Italo Svevo.
L’arpentage de l’espace se métamorphose ensuite en une constellation de photographies et d’essais proposant un regard neuf sur les pratiques littéraires du territoire de Boris Pahor, Biagio Marin, Scipio Slataper, Giani Stuparich et Paolo Rumiz.
La juxtaposition d’éclats de mots et d’images que proposent les portfolios de Marion Wulz, Mario Magajna, Laura Marocco, Anja Čop et Wanda Wulz donne corps à un territoire que tout un chacun peut s’approprier.
Philosophe, essayiste et critique littéraire, Christophe Solioz croise les lieux (Zurich, Genève, Sarajevo, Trieste, Belfast), les disciplines (politique, esthétique, littérature, urbanisme, relations internationales) et les pratiques (éditoriale, pédagogique, gestion de projets à l’international).







































